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Restructuration ? ou D'innombrables fantômes qui soutiennent l'économie japonaise.

Les gens licenciés dans la télé. Ils me fendaient la cœur puisque je me suis regardé dans leurs images. Mais il ne s'agit pas de cela pour moi-même. Jusqu'à la nuit dernière...

Nous vivons au Japon dans la dépression. On cherche un occupation mais beaucoup ne l'obtiennent pas. Des entreprises, par surcroît, renvoient beaucoup d'employés sous prétexte de la restructuration. Et je ne peux pas supporter qu'il y a la restructuration au Japon qui n'est pas avec la rationalisation.

Je travaille dans un centre de la recherche comme un assistant. Il est un organe public, mais ou donc il manque de crédits. Sa demande est sans limite, il a désiré un nouveau système d'ordinateur et l'administrateur. Mais il n'y a pas d'argent, donc il a décidé de renvoyer un assistant. Moi ? ou un de mes collègues ?

Je pourrai probablement subsister là. Mais moi et mon collègues, nous travaillerons sous des conditions sévères. Parce qu'il faudra que deux porte travaux pour trois personnes. Notre conseil des professeurs a trouvé une solution merveilleuse. Il nous donne des heures supplémentaires sans payer.

Pourquoi est-ce que tu ne réclames pas contre la violation des droits de l'homme ? Parce que j'ai peur d'être trancher ma tête. Le conseil nous accule à la soumission ou la mort à mots couverts. Lutter sous le drapeau du droit est choisir la mort glorieuse. Il nous faut vivre. Nous uniservice que sommes moins que un ticket de métro ne pouvons que lui obéir.

Au Japon, il n'est pas rare que l'on travaille sans paye. Les heures supplémentaires, travailler à congé. Les personnes que ne proprement sont pas travaillent. Mon ami s'est plaint qu'il n'y a pas de congé tout deux mois. Il va travailler de grand matin, rentre tard dans la nuit. Le travail pour la vie la ronge. Le système économique japonais a grossi en pilant notre dignité humaine. Dépéri, il s'absorbe encore nous piller. Nous n'étant pas le supportons aussi aujourd'hui.

Mais nous ne l'accusons pas. Il ne change jamais si nous mourons. Nouveaux pauvres esclaves se nous substituent seulement. Je détourne les yeux d'espoir.

Mes amis français, vous riez de nous et moi ?


à allons au Japon !

Édition originale : 01.02.2002
Dernière mise à jour : 02.02.2002
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